Un SIG pour « débroussailler » le rôle des différents facteurs et extraire l’effet de répétition d’un coup de vent ?
Les caractéristiques du milieu naturel ont été définies à partir des cartes contemporaines numérisées (topographie et pédologie). Pour le relief, la pente et les expositions, un MNT (modèle numérique de terrain) a été construit. Les relevés de chablis et de coupes ont été pris en compte à l’échelle de la parcelle.
Des âges et espèces dominantes ont été attribuées à chaque parcelle : « hêtre », « chêne », et « feuillus divers » (charmes, frênes, ormes et érables). Un degré de vulnérabilité (sur une échelle de quatre paliers) a été calculé sur l’ensemble des critères, ce qui a permis d’estimer la vulnérabilité globale d’une parcelle en 1872 et en 1876.
Pour associer l’ensemble des informations un Système d’Information Géographique a été créé avec Arcgis.